L'Aviron c'est...Plusieurs pratiques :
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L’aviron, un sport bénéfique pour la santé |
Christian PALIERNE – Médecin de la Fédération Française d’Aviron
« Sur le plan musculaire, l’aviron est un sport quasi complet puisqu’il fait travailler pratiquement tous les muscles : membres supérieurs, membres inférieurs, abdominaux, lombaires, etc. Sport d’endurance, il ne présente que des avantages pour l’appareil cardio- vasculaire : il régularise ou fait baisser la pression artérielle, abaisse la fréquence cardiaque et améliore le rendement énergétique. Au-delà de ses bienfaits physiques, l’aviron offre aussi à ses pratiquants le plaisir procuré par la sensation de glisse sur l’eau et par la découverte de parcours nature ». Professeur Xavier BIGARD – Physiologiste et Nutritionniste (Émission Télématin – Bien-être – 26/10/2013 – France 2) « En terme de sécurité, l’aviron est intéressant parce que c’est une activité assise qui va mobiliser de nombreuses masses musculaires, mais qui ne va pas induire d’accidents potentiels. Le rameur en salle est très indiqué chez les personnes en surcharge pondérale ou obèses, dans la mesure où il n’y aura pas de vibrations, donc pas de sollicitations des articulations, comme dans un sport tel que la course à pied ou la marche rapide ». |
L’aviron, acteur du
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La Fédération Française d’Aviron se positionne comme un acteur majeur des enjeux sanitaires du sport en développant une approche nouvelle de sa pratique par :
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L’aviron, un sport pour tous |
Grâce à ses multiples atouts, la pratique de l’aviron peut répondre aux spécificités de chacun et ainsi s’adapter à tous types de publics :
Bénédicte, 53 ans, Chef de projet, atteinte d’un cancer du sein « Pendant toute l’année précédant ma pratique de l’aviron, j’avais subi des traitements chirurgicaux mutilants, la pose d’une prothèse, je n’utilisais plus très bien mon côté gauche et en dehors de la marche l’été et d’un peu de natation, je n’avais guère pu pratiquer de sport. J’étais devenue comme asymétrique. Le tank à ramer (machine à ramer) m’a appris à réemployer bras et jambes, à me coordonner et à découvrir que j’arrivais à fonctionner des deux côtés, même du côté réputé faible. L’ergomètre a été une façon de renouer avec l’effort. La première sortie sur le canal sous une averse de pluie-neige fut mémorable ! Mais j’en suis revenue ravie, car la maladie n’était plus un obstacle ou un frein : nous étions sorties, en dépit du mauvais temps ! ». |